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Journalisme de solution : ‘’un espoir’’ aux maux de la société

Proposer des solutions pour améliorer le quotidien des citoyens est l’essence du journalisme de solution selon Mikhael Simmondis, journaliste de profession.  Aux USA, près de 200 médias pratiquent déjà ce type de journalisme dont les résultats sont patents.

 

« Le journalisme de solution n’est pas de l’activisme. Ce n’est pas non plus de vénérer  des héros. Il est beaucoup plus que ça, loin de la légèreté. C’est du vrai journalisme d’investigation mais qui propose des solutions après avoir établie les faits », parce que selon Mikhael, il y a des solutions à tous les problèmes.

 

Quels outils pour faire du journalisme de solution ?

 

A entendre Mikhael, il n’y a pas d’outils magiques pour faire du journalisme de solution. Quand il s’agit, par exemple d’un sujet sur une communauté, il faut apprendre à bien connaitre cette communauté, à l’écouter, à échanger avec elle pour trouver les solutions ensemble.

 

L’exemple de la Somalie (un pays dont les médias internationaux ne montrait que le côté négatif du pays) traité dans StarsTribune (un journal américain) a eu beaucoup d’échos positifs.

 

Le journalisme de solution consiste à parler de tout ce qui est positif, un facteur très influent sur le négatif. « Si on nourrit les gens du positif, ils seront amenés à abandonner le négatif comme la corruption, le fraude, le détournement…. » affirme Mikhael Simmondis

 

Quel risque dans le journalisme de solution ?

 

Le journalisme de solution étant de l’investigation, il peut avoir des risques mais cela dépend des sujets que l’on traite parce que les gens passent beaucoup plus de temps sur le positif que sur le négatif.

 

Bassératou KINDO



13/06/2017
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